Les petits potins d'Harley Quinn

GaucheCeci est un message urgent d'Harley Quinn ! Il ne reste que 23 jours pour aider Hanakai Studio pour la création de Prodigy sur kickstarter. Bien que l'objectif soit déjà atteint, ce jeu a l'air tellement beau et tellement abouti qu'on ne peut que vouloir leur donner plus. En gros, c'est un Skylanders pour grands. Ce RPG se joue sans manettes, avec des figuries, des équipements et un autre joueur. De plus, pour nos amis les créatifs, il est possible de peindre soi-même ses figurines, qui soit dit en passant on une classe impressionnante et sont très travaillées, d'environ 70/80 mm. Harley ne peut que vous engager à participer au projet puisqu'à partir de 70€ seulement les studios Hanakai vous offrent le jeu ainsi qu'un starter pack. En investissant un peu plus, vous aurez accès à la bêta et en investissant beaucoup plus à l'alpha. Sympa, n'est-ce pas ? Donc tout ça pour dire, Harley Quinn trouve que ce projet est une super idée et attend octobre 2015 et la sortie du jeu avec impatiente alors si vous pouvez aidez les, même avec 1€, les petits cours d'eau font les grandes rivières ! Le lien kickstarter est ici.

Après avoir vu Captain Amerlock (eh oui elle soutient la concurrence), Harley Quinn a eu un réel besoin de voir un film un peu plus profond. Elle a donc trainé le Jocker au cinéma pour voir le film dont elle va vous parler. Oeuvre du réalisateur peu médiatisé Robin Campillo, Eastern Boys Retrace l'histoire d'amour entre un jeune sans papiers d'Europe de l'Est et un quadragénaire bourgeois.

Bien ficelé, ce film est d'une élégance incroyable. En effet, bien que ce film mêle à l'histoire une étude sur les rapports entre les hommes, le réalisateur a su trouver la bonne distance entre voyeurisme et étude anthropologique. Harley Quinn est ressortie de la séance avec la sensation qu'elle devait réfléchir mais en même temps elle n'a vu aucune morale précise se dégager de ce film, ce qui lui a laissé une impression plutôt désagréable. Scénaristiquement, le film tombe parfois dans la facilité du conte de fée et de l'histoire type Cendrillon. Les jeux de regards des acteurs sont cependant très impressionnants et mettent en avant l'aspect poétique d'Eastern Boys.

En résumé, on a ici un film à voir, poétique, élégant, surprenant et duquel on ne ressort pas mal à l'aise, puisque Campillo ne se place pas en donneur de leçon. Il est toutefois un peu décevant à cause de chemins attendus qu'il peut parfois prendre et d'une ou deux microlongueurs dont on aurait plus ce passer. Toutefois, puisque c'est un bon film français, soyez un peu chauvins et allez le voir, vous ne perdrez pas votre temps !

Bien sûr vous allez dire que vous connaissez déjà ce jeu, que faire un article dessus n’a aucun intérêt mais au contraire, il s’agit de ne pas oublier les classiques ! Harley Quinn y jouait quand elle était jeune et adorable. Elle adorait détruire des peuples entiers et commettre des régicides !

Or, il y a quelques temps, alors qu’elle cherchait un jeu éducatif pour sa petite cousine, elle est retombée sur son vieux CD d’Age of Empire II. Elle l’a alors inséré dans son lecteur de disque et –probablement grâce à une intervention divine- le miracle s’est produit et le jeu a fonctionné.Alors, pour ceux qui ne possédaient pas de Windows 95 à l’époque, Age of Empire est un jeu dans lequel le joueur doit gérer le développement de son peuple et, en mode campagne, remplir différentes mission. En dehors de cela, le joueur doit vaincre le peuple ennemi en détruisant son château ou en construisant lui-même une merveille.

Elle a donc redécouvert totalement ce jeu qui est passionnant pour les adultes aussi et fournit tout le plaisir du rétro-gaming. En effet, maintenant qu’Harley a internet, le jeu prend une tout autre ampleur. Stratégie et coopération se mélangent dans ce jeu de gestion qui peut convenir à tous les âges, aux casuals comme aux hardcore gamers. Alors si vous vous ennuyez au bureau, chez vous ou à la fac, Age of Empire II, pensez-y, il est facile à trouver et vous distraira lors de vos longues soirées d’hiver !

En allant au théâtre il y a quelques jours de cela, Harley Quinn a rencontré un curieux peronnage, Adrien Morel, qui lui a conseillé d'aller jeter un oeil au projet auquel il participe. Après deux ou trois raclées infligées à Robin, Harley a donc trouvé le temps de prendre son ordinateur et de s'y intéresser. Alors, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle a été surprise.

En effet, loin d'être une énième copie de la Flander's et de Noob, cette série est une autofiction mêlée à un hommage à Bob Dylan. François Hervouët n'en est pas à son coup d'essai : au cours de l'été 2012, il avait tourné Billy la série qui visait à faire revivre dans les mémoires Billy the Kid. Harley Quinn vous conseille au moins d'en regarder le premier épisode pour constater les progrès vertigineux qui ont été faits, tant au niveau matériel qu'au niveau de la maturité du jeu d'acteur.

Mais, que de digressions ! Zim est donc une série toute fraiche dont la saison sera composée de dix épisodes. Tournée à Angers, cette série se passe à notre époque et dans notre univers : pas de magie ni de trucs qui font boum. Elle est déconcertante, totalement décalée et le point assez exceptionnel est sa bande son d'une autre époque qui imprègne totalement l'univers de la série.

Celle-ci a, d'après Harley, un effet apaisant et éveille la curiosité du spectateur. Dans le premier épisode, on a une alternance entre plans en noir et blanc où on retrouve ZIM face à la caméra et scènes classiques, ce qui apporte une dynamique plus qu'appréciable. Malgré la caméra parfois tremblante, les comédiens, en partie étudiants au conservatoire, incarnent parfaitement le scénario et lui donnent vie. Certains ne parviendront pas à accrocher et d'autres diront que c'est trop différent, trop plat mais allez voir, la critique peut être constructive alors forgez vous votre propre avis et donnez leur ! L'épisode 1 est en dessous et le commentaire de chaque épisode fait par François Hervouët est ici !

Quand hier soir Harley Quinn a été prise d’une envie folle d’aller au cinéma et qu’elle a regardé les programmes, elle n’a dû hésiter qu’une seconde avant de choisir Monuments Men. Pour ceux qui ne connaitraient pas, ce film réalisé par Georges Clooney est inspiré de l’histoire vraie de sept hommes qui, en pleine Seconde Guerre Mondiale, ont tout tenté pour sauver un maximum d’œuvres d’art qui se retrouvaient aux mains des Nazis (la photos de ces vrais héros est à droite).

Ce synopsis a donné l’eau à la bouche d’Harley qui trépignait d’impatience dans la file d’attente du cinéma. Soudain, les lumières s’éteignent et c’est parti ! L’humour est très fin et appréciable, l’histoire est émouvante et belle sans tomber dans le pathos et le casting est juste exceptionnel : Clooney, Damon, Murray, Blanchet, Goodman, Dujardin, Bonneville et Balaban ça fait quand même une belle brochette ! De plus, les décors impressionnants de réalisme font ressortir le l’aspect historique du film et touchent la sensibilité du spectateur. Toutefois, aussi surprenant que ça puisse paraître et malgré tous ces atouts, le film a tendance à trainer en longueur et les spectateurs sortent régulièrement leur portable ou leur montre. Comment est-ce possible direz-vous ? Tout simplement car certaines scènes, parfois attendues ne trouvent pas leur place dans l’histoire et entrainent des périodes ternes dans le film.

Clooney a donc, dans la lignée de films comme la grande évasion, cherché à donner un ton burlesque à son film sans toutefois faire l’impasse sur le sérieux et l’horreur de la guerre, ce qui est un exercice qu’il a plutôt réussi bien que l’équilibre entre humour et sérieux ait parfois été bancal. En d’autres termes, le film, bien qu’à peine abouti, gagne tout à fait le droit de figurer dans les bons films de 2014 et reste à voir !

A la suite de la capture du Jocker, Harley Quinn a dû s'absenter durant une longue période comme vous l'avez sûrement constaté. Toutefois aujourd'hui tout est rentré dans l'ordre et elle est plus rayonnante que jamais ! A vos claviers elle débarque dans vos ordis !

Si je vous dit Ankama, évidemment vous pensez à Dofus ou Wakfu.Et si je vous disais qu'un autre nom commence à y être associé, vous voyez ?

Vous avez deviné, aujourd'hui je vais vous parler de Krosmaster Arena le jeu de plateau. Evidemment, avant de jouer il faut déballer la boîte, et on reconnait le travail bien fait car elle est bien illustrée sans toutefois tomber dans l'excès.

C'est ainsi nous nous retrouvons face au matériel qui est tout simplement bluffant par sa qualité et le travail effectué dessus. Rien n'est laissé au hasard : le plateau de jeu, qui comprend deux faces pour plus de choix, est accompagné d'arbres, buissons et coffres en 3D. Bien sûr on retrouve également les pions, jetons et dés spécifiques au jeu, ainsi que les cartes de personnages. Mais ce qui vous fera vibrer et frissonner à l'ouverture de cette boîte, ce sont les huit figurines. C'est une véritable claque visuel, leur design est sublime et ici encore elles sont très travaillées.

Le "plus" de ce jeu est qu'il se joue aussi bien en ligne, seul ou en tournoi, qu'IRL avec vos amis. Les deux versions disposent aussi d'un didactiel avec une prise en main pas à pas, bien évidemment inspirée du mmorpg. Ainsi on a un jeu très accessible avec un système de dépense de points de mouvement et d'action, le but étant de faire tomber les galons de gloire de son adversaire à zéro en éliminant son équipe ou dépensant des kamas. De plus, il est très agréable de composer son équipe selon votre personnalité et d'équiper ses personnages.

En résumé, bien que les premières parties risquent de trainer en longueur, le jeu est très vite pris en main et apporte une sorte de renouveau au jeu de plateau, un quelque chose de léger et de frais qui fait qu'Harley Quinn a tout de suite adopté ce jeu et vous le recommande !

Aujourd'hui, Harley Quinn est allée au cinéma, avec une certaine envie de changement. Alors plutôt que d'aller encore une fois voir Man of Steel, j'ai pris une place pour Moi, moche et méchant 2 histoire de retrouver, le temps d'une séance, mon âme d'enfant.

Je présume que pour beaucoup d'entre vous je parle chinois donc permettez moi de ressituer ce film d'animation. Dans Moi, moche et méchant 1 on découvrait un personnage maléfique haut en couleurs, Gru, et son armée de minions. C'est un truand qui n'hésite pas une seconde avan

t de détruire toute personne qui pourrait lui faire obstacle. Au moment où on découvre Gru, il projetait de voler la lune elle-même. C'est alors qu'il rencontre trois petites filles qui lui font entrevoir un nouvel avenir possible, un avenir de père. Tout au long du film on voit donc l'évolution de ce super-vilain en super-papa.

Après cette petite mise au point, entrons dans le vif du sujet. Dans Moi, moche et méchant 2, il n'y a pas de surprise quand au synopsis. Alors qu'il s'adapte à sa nouvelle vie de père de famille sans histoires, Gru est rattrapé par son passé quand une organisation secrète vient recourir à ses services pour lutter contre une vague de crimes. Il fera alors équipe avec Lucy et tout au long du film on découvre de nombreux nouveaux personnages qui amènent de la vie au film. Avec Moi, moche et méchant 2, on découvre un film sans prétention mais qui nous décroche toutes les deux minutes un rire ou un sourire attendri face à Gru et aux minions, bien plus présents et tout aussi décalés que dans le film précédent. En bref un très bon moment de détente à ne pas manquer même si le scénario ne révolutionne pas le monde du cinéma

C'est le retour d'Harley Quinn après une bien trop longue absence et, ce soir, je vais vous parler d'un jeu que j'ai attendu et espéré, Deadpool. En lisant ça j'entends déjà vos réctions, "Encore un beat'em all, que pourrait-on dire de plus ? Pas de quoi en faire un plat!", mais je vous arrête tout de suite, avant de critiquer, essayons.

Tout d'abord, Deadpool, pour les newbies du comics, c'est un bébé de Marvel, l'antihéros par excellence. Il est grossier, violent, sadique, cynique.. Bref, tout ce qu'on aime. Et il a enfin droit à son jeu, c'est pas magnifique ? Le personnage rend le jeu captivant et ajoute la touche d'hardcore qui le fait sortir du lot. Le jeu est hyper dynamique et son gameplay est très abordable. Et parce que c'est Deadpool, il est conscient d'être dans un jeu, il s'adresse à vous à travers de votre écran.

Pour ce qui est de l'histoire, on suit Deadpool dans l'accomplissement d'une mission, un assassinat qui sera interrompu par des super-vilains Marvel. Notre antihéros part donc à la recherche d'informations sur les plans de ses ennemis et croisera en chemin des stars comme Wolverine, Psylocke ou encore Domino qui l'aideront dans sa croisade.

Bon, il faut être honnête, Deadpool n'est pas le jeu du millénaire. Il ne révolutionne pas le beat'em all mais c'est un jeu qui nous fait passer un bon moment rythmé par l'humour décalé du personnage, et après tout, c'est ce qu'on attend d'un jeu, prendre du plaisir et se détendre. Surtout qu'on ne peut s'empêcher d'être fascinée par tant de violence et de classe. Alors, Deadpool, sans hésitation, Harley Quinn achète !